Jeau-Claude OLIVER

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De Bab El Oued à l’Olympia, de l’Aletti au Blue Cat

Jean Claude Oliver, guitariste de talent devenu chef d’entreprise : un studio d’enregistrement, le BLUE CAT et la vente en ligne de cd rééditions et nouveautés.

Jean Claude est connu pour avoir été le leader des Fingers, puis l’accompagnateur de nombreuses vedettes, allant du rock à la variété en passant par le jazz.

Né au tournant des années trente à Bab El Oued, le quartier populaire d’Alger, d’un père parti à la guerre en 1939, qui divorça en 1940, et qui reviendra après 5 ans dans un camp de prisonnier prés de Nuremberg, et d’une mère employée aux usines de tabac Bastos, l’usine de tabac algérienne. Ses grands parents coté maternel étaient d’origine italiennes (Naples) et coté paternel espagnol(les Baléares).

Jean Claude comme tous les gamins passait beaucoup de temps dans les rues pittoresques de Bab el oued, où il jouait avec ses copains. A l’âge où l’on écoute la radio dans ces années 40, Jean Claude, s’intéresse au sport et à la musique. Parmi ses amis Camino d’Angelo, accordéoniste, il deviendra plus tard un chef d’orchestre réputé faisant carrière notamment au Cirque Pinder. Il y a aussi Mimi Romano, pianiste. Ils font danser les gens dans la rue, jouent dans les bals, Jean Claude se dit pourquoi pas moi ? Il achète une guitare, apprend tout seul et se rejoint ses amis pour animer les fêtes de l’Alger des années 50, Jean Claude est guitariste et chanteur.

Dominique Mimi Romano est un excellent pianiste, un amateur éclairé, il connaissait tout le système harmonique de Georges Shearing, ( 2) mélange de swing, bop et de classique moderne. Jean Claude lui doit beaucoup. Jean Claude monte un quartet vocal chantant les standards et des classiques du jazz.(LE QUARTET MONACO)

Jean Claude au milieu des années 50, décide avec André Chareyre pianiste et chanteur, de partir pour Paris, c’est à Paris qu’il faut aller pour percer et devenir un musicien professionnel. Cette première aventure dure un peu plus d’année. Il chante entre autre dans une boîte Les Naturistes, au 1 place Pigalle. Paris n’est pas aussi accueillant pour les jeunes talents qu’ils l’avaient imaginé. Retour vers le ciel bleu, le soleil de l’Algérie à Alger La blanche.

Nos amis ont progressé et ils retrouvent leur place sur la scène musicale d’Alger, ses bals, ses night clubs, ses restaurants où l’on danse les jours de fêtes.

1955 après des débuts prometteurs à l’Aletti, c’est l’heure du service militaire, jean Claude y passera 24 mois. Après l’armée il est à nouveau engagé au casino Aletti, en 1958 . Jean Claude chante et joue avec l’orchestre de Freddy Camau, aux côtés d’un excellent musicien Jerry Jerôme, qui joue aussi dans le style de Georges Shearing. Jean Claude chante et joue les standards anglais et américains influencé par Nat King Cole . Beaucoup d’américains et de britanniques de passage en Algérie venaient se détendre à l’Aletti. Dès cette époque Jean Claude admire et s’inspire de Tal Farlow. (3)

C’est en 1955 que Jean Claude se marie et en mai 1956 devient père de famille pendant la guerre d’Algérie.

Le service militaire durait 24 mois, Jean Claude le fait à Blida, puis à Djelfa et Laghouat. Affecté dans l’artillerie, il passe aux transmissions .A l’automne 1959, Jean Claude décide de repartir pour Paris, il se sent mûr pour affronter la rude compétition avec tous les musiciens, qui rêvent de se faire une place au soleil. Il quitte Alger avec sa femme et son fils. Place Pigalle au rendez vous des musiciens, il rejoint différents orchestres, connus ou inconnus, pour faire la tournée des bals en Bretagne. C’est ainsi qu’il jouera et chantera avec les accordéonistes Armand Lassagne, Jerry Jérôme, Louis Corchia, Gus Viseur.

Puis il fait la connaissance du chef d’orchestre et clarinettiste Léo Clarens, qui monte un nouvel orchestre avec parmi les musiciens Jack Arel (un ami depuis Alger), qui deviendra un compositeur à succés (I’ll never leave you). Léo Clarens né en 1923 a commencé à jouer dés l’âge de 16 ans. Décédé en 2011 à 88 ans, il a fait des arrangements pour de nombreux chanteurs de Trenet, Patachou à J. J. Goldman, Bashung en passant par Eddy Mitchell et Nicole Croisille. Jean Claude fait un disque avec Léo Clarens et son orchestre en 1960.

C’est en fait le deuxième disque Parisien car fin 1959, il a déjà enregistré avec Armand Canfora , pianiste algérois, qu’il avait connu à Alger. Il le retrouve à Paris, grâce à Lucien Attard, chef d’orchestre et accordéoniste, Algérois, qui jouait à la Croix de Malte, boîte où tous les accordéonistes venaient se produire. Lucien Attard a fait appel à jean Claude pour remplacer le guitariste pendant quelques jours. Armand Canforra préparait un disque et était à la recherche d’un chanteur, Lucien Attard lui propose Jean Claude Oliver.

Armand Canforra est l’époux de la chanteuse Amy Anahïd, qui a enregistré Rock, c’est un rock composé par son mari et Mick Michel, titre mythique s’il en est. Elle enregistrera plusieurs disques souvent accompagné par l’orchestre de son mari.

En 1962 la vogue du rock instrumental bat son plein, Jack Arel travaille beaucoup pour les idoles des jeunes. Il conseille à Jean Claude de monter un groupe instrumental et le présente à Jean Greblin directeur artistique chez Festival. Jean Claude réunit ses copains intéressés par le projet :Yvon Rioland, le bassiste, Marcel bourdon, rythmique, Serge Biondi à la batterie. Le premier disque est mis en boîte, il comprend notamment Pas cette chanson « Don’t play that song» composé par Ahmet Ertégun le fondateur du label Atlantic records, grand succès de Ben E King en 1962, les hommes joyeux composé par Armand Canforra, le chemin de la joie composé par Daniel Hortis et André » Clyde » Borly, chanté par Les chaussettes noires.

Jean Claude avec Jack Arel composera pas mal de morceaux enregistrés par la suite comme fingerprint, les guitares de décembre, Cavalcade, Banjo Song quand l’amour va tout va, top secret ,avec Loulou Gasté, Mister Chou Bang Lee avec Jacques Dambrois et Les cavaliers du feu. Le premier Gala des Fingers sera au cirque d’Hiver pour l’anniversaire Bouglione. La première tournée est avec le chapiteau de Radio Luxembourg. Puis durant l’été c’est le chapiteau de radio Monte Carlo tous les soirs. La nuit se poursuit au Vieux Colombier à Juan Les Pins. Ils enchaînent avec une tournée pour radio Luxembourg et une émission quotidienne pendant un an. L’aventure des Fingers prend fin peu après la maladie de leur directeur artistique Jean Greblin. 

Leur nouveau directeur artistique focalisait son attention sur les Surfs et Marie Laforêt . Les Fingers ont d’ailleurs repris pas mal de titres de ces artistes.

Jean Claude poursuit alors sa carrière de musicien de studio et rejoint l’orchestre de Georges Jouvin.

Jean Claude va jouer dans les plus grands orchestres à cordes de l’époque : Paul Piot, Frank Pourcel Paul Mauriat (Love is blue) et Raymond Lefèvre, avec lequel il a fait plusieurs tournées au Japon. Raymond Lefèvre a connu un grand succès notamment avec son tube la reine de Saba. Un coffret de 10 albums de Raymond Lefèvre vient d’être publié récemment au japon. Les tournées étaient de un mois et demi, avec des spectacles tous les jours, la bonne ambiance et le succès contribuant à effacer la fatigue.

Dans l’orchestre Jean Claude retrouve Silvano Santoro, à la guitare également, Maurice Vander au piano.

Jean Claude Oliver a participé à 250 émissions de télévisions des Carpentier et de Guy Lux, ainsi qu’à de nombreuses émissions de Jean Christophe Averty.

On le retrouve aux cotés de Barney Kessel avec le trio Georges Arvanitas, qui peut être vu sur le site Ina.

Jean Claude très éclectique s’est passionné pour le sitar indien, cela lui vaudra de jouer à l’opéra de Paris pour un spectacle de Rudolph Noureev en hommage à Martha Graham.

Jean Claude Oliver chanteur : trois 45 tours produits par Denis Bourgeois éditions Bagatelle En 1967 -1968 –et 1969. Jean Claude chante ses propres compositions parus chez Philips :en 67 c’est où dites moi, une fleur pour james dean, les enfants du vent, il n’y en a pas deux, puis en 1968 a chacun sa chanson, on ne savait pas où il allait, c’est bien assez d’être pauvre, kama sutra, et en 1969 dans quel pays et l’invite hommage à Rabindrantah Tagore.

Films: On peut entendre Jean-Claude Oliver aux différentes guitares: accoustique, espagnole, éléctrique , 12 cordes, banjo, sitar indien (dans: Le Pacha), dans les bandes originales de films cultes du cinéma français, bandes originales souvent signées par d’éminents compositeurs tels que Vladimir Cosma, Michel Legrand, Michel Colombier, Raymond Lefebvre, Georges Delerue, François de Roubaix, ou encore Serge Gainsbourg.

On trouve parmi ces films – pour ne citer que les plus fameux – Le Fou du Labo 4, La Leçon Particulière, La Curée, A Belles Dents, Brigade Anti-Gangs, Soleil Noir, Les Grandes Vacances, Le grand blond avec une chaussure noire, Mister Freedom, Boulevard du Rhum, La Baleine Blanche, La Louve Solitaire, Le Voleur de Crimes, Une Corde un Colt…, Le Jouet, Et que ça saute. Le petit Poucet, La gueule de l’emploi, Le conçierge, Les risques du métier, Les Poneyttes, Drôle de colonel, Manon 70, Les feux de la chandeleur, La grande sauterelle, Les chinois à Paris, Ne nous fâchons pas, L’homme de Mykonos, Toutes folles de lui, Le soldat Laforet sans oublier les incontournables : Peau d’Ane, Anna (Sous le soleil exactement ) interprété par Anna Karina, Le Corniaud, Les Aventures de Rabbi Jacob et 37,2 le matin.

Musicien de studio: Jean-Claude Oliver a enregistré avec des artistes de variété qui ont marqués les mémoires depuis les années 60. Citons par exemple Johnny Hallyday, Serge Reggiani, Charles Aznavour, Françoise Hardy, Michèle Torr, Hervé Vilard, Antoine, Pierre Perret, les Charlots, Nicole Croisille, Guy Marchand, Michel Delpech, Nicoletta, Juliette Gréco,Sylvie Vartan, Mireille Matthieu, Daniel Guichard, Nana Moskouri, Christophe, Michel Polnareff (Olympia 1972 et 1973 avec le groupe Dynastie Crisis) Michel Sardou, Alan Stivell , Jacques Brel, Gainsbourg, Serge Lama, Claude François ..

Il a également accompagné des artistes internationaux comme Stevie Wonder, Tony Bennet, Tina Turner, Tom Jones et joué sous la direction de chefs comme Norrie Paramor ou Henri Mancini compositeur de La panthère rose.

Parmi les anecdotes, celle du gala de Cannes (Casino), où Jean Claude accompagnait Dalida est l’une des plus marquantes. Au programme en première partie Dalida, et en deuxième partie John Travolta. Lors de la mise place des musiciens, une grande étincelle jaillit de la guitare de Jean Claude, il regarde sa guitare plus de cordes, elles avaient grillés, en raison du court circuit provoqué, lorsque les cordes de sa guitare ont touché le rideau de fer ! Il reste à peine deux minutes avant l’entrée en scène de Dalida. Jean Claude se précipite dans les coulisses à la recherche du guitariste de John Travolta, avec lequel il avait sympathisé. Il lui explique que sa guitare « is broken ». Ce dernier lui prête sa guitare. Jean Claude a juste le temps de reprendre sa place avant que le spectacle commence !

Parmi les disques dont Jean Claude aime à se souvenir, il y a l’album des Mercators enregistré en 1975 avec ses compositions réunissant une pléiade de grands musiciens comme Jean Luc Ponty au violon, Eddy Louiss à l’orgue, André Arpino à la batterie…

Avec les années 80 Jean Claude fonde un studio d’enregistrement avec son ami guitariste André Bénichou à Montreuil. Il passe des instruments aux manettes d’ingénieur du son. Cette aventure se poursuit toujours, le studio s’est agrandi avec une salle pour tourner des clips vidéo. A cela s’ajoute une maison de production : Productions Blue cat et un site de téléchargement et vente de CD Oliver for you. (www.oliverforyou.com)Ses fils :

Patrick l’aîné, pour suivre les traces de son père, a fait de solides études musicales au conservatoire national à Paris et à Berkeley : solfège et harmonie. Maintenant il est devenu producteur de centaines de titres et notamment d’une grande vedette portugaise Tony Carreira.

Raphaël, son plus jeune fils a 18 ans et a fait partie étant tout jeune de la maitrise du conservatoire de la rue de Madrid à Paris avec laquelle il a même chanté au Chatelet dans Carmen . il étudie également l’orgue liturgique et l’écriture musicale au CRR de Paris préparant pour cette année son entrée au CNSMDP. Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris

Parmi les nouveautés du label : un cd de PACO , un du trio de Philippe AMIZET, et un de l’excellent crooner : Frank DANA

Pour résumer la carrière de Jean Claude Oliver, c’est 800 titres enregistrés à la SACEM, un catalogue éditorial de 500 œuvres. L’enregistrement d’une cinquantaine de musiques de films, 6 tournées au Japon dont une avec Aznavour et une autre avec Mireille Mathieu, ainsi que les tournées avec les grands orchestres de Franck Pourcel, Paul Mauriat et Raymond Lefèvre.

Photo de J C O et Silvano Santorio au Japon avec l’orchestre de Raymond Lefèvre .Nous faisions au cours des concerts une intervention à la « Simon et Garfunkel » en chantant et en nous accompagnant à la guitare -Frère Jacques-qui fut un immense succès car ce que nous avons appris c’est que cette comptine était connue de tous les parents qui la chantaient à leurs petits!! Et nous avons dû apprendre les paroles en japonais …. Souvent on se marrait ce qui plaisait beaucoup à l’auditoire. Orchestre André POPP au studio Davout pour une séance d’un de ses disques d’orchestre.

Présents sur les photos(3):POPP +Claude HERMELIN (ingénieur du son) +JCO Photo(4): Léon Gamme-flute+Fred Farrugia un peu masqué-orgue+JCO 12cordes sitar indien+Gus Wallez batt percs+Francis Darizcuren -guit bss+Raymond Gimenez-guit elec+A POPP au piano. Les photos que nous dédicassions et qui rapelleront de bons souvenirs aux fans de Radio Monte Carlo ou de Radio Luxembourg. Avec : Yvon-Jean marie-Marcel + Yvon-Biondi-Marcel + Hadi-Jean marie-Marcel Au cours de ce gala furent également primés:

Jean-François Paillard-Jacques Lasry -Jacques Douai-François Rabbath et Armand Molinetti-Jean Ferrat….. Line Renaud marraine des Fingers en répétition sur la pelouse de sa maison. Annonce tv

1/ En 1930 Aletti achète l’Hôtel Thermal Palace qu’il dirige depuis 10 ans à Vichy. Cette Même année Aletti va concrétiser un projet qui lui tenait à cœur: construire de l’autre côté de la Méditerranée un hôtel conçu par lui et qui porterait son nom. C’est ainsi que va naître à Alger l’Hôtel Aletti, le plus somptueux de l’époque. Il s’agissait d’un immense complexe hôtelier comprenant hôtel, restaurant, bar, boîte de nuit, théâtre, cinéma, salle des fêtes, des boutiques et un casino .L’ouverture de cet hôtel correspondait avec les fêtes du centenaire de l’Algérie Française. Cet établissement renommé sera le rendez-vous de la clientèle fortunée d’Afrique du Nord en recherche de divertissement. Joseph Aletti en confiera la gestion à son fils aîné pour se consacrer au maximum à Vichy où les affaires sont prospères et aussi pour éviter les voyages fatigants en Algérie.

L’Hôtel Aletti d’Alger existe toujours sous le nom d’Hôtel Safir.

2/ né à Battersea en 1919, quartier de Londres, Shearing était le plus jeune d’une famille de 9 enfants. Il était aveugle de naissance. Son père travaillait comme livreur de charbon, sa mère faisait le nettoyage des wagons. Il a commencé à apprendre le piano à 3 ans. Il a passé 7 ans à la Linden Lodge school for the blind, école spécialisé dans l’éducation des aveugles.

* Il émigre aux Etats-Unis en 1947. Son style complexe mélangeant le swing, bop, le classique contemporain est devenu populaire. Il a joué avec Oscar Petiford aux cotés de Buddy de Franco En 1949 il fonde son quintet avec Margie Hyams (vibraphone, Chuck Wayne guitare, puis Toots Thielmpansq, John Levy, basse et Denzil best batterie. Il aenregistré pour discovery, Savoy et MGm. Son plus grand succés fut september in the rain qui s’est venbdu à 90000 exemplaires, suivi de Lullaby of Birdland. il est célèbre pour son utilisation du block chord, une technique de piano consistant à jouer les mélodies en accords.

Georges Shearing est décédé en 2011. Il étaitr devenu citoyen américain en 1956.

Source Wikipedia 3) Talmage Holt Farlow (June 7, 1921 – July 25, 1998). Fils d’un musicien amateur, Tal ne commença la guitare qu’en 1942, il a travaillé aux côtés des guitaristes bop Sal Salvador et Jimmy Raney. En 1946, il commença à travailler avec la vibraphoniste Marjorie Hyams dont le trio se produisait en alternance avec le trio de Parker, puis dès 1948, il fut embauché par Buddy DeFranco et ensuite par le trio de Red Norvo avec Charlie Mingus à la contrebasse. Il intègre brièvement le Gramercy five du clarinettiste Artie Shaw. Reconnu comme l’un des meilleurs musiciens à la guitare, il est récompensé par la revue Downbeat en 1954. Tal enregistre plus d’une demi-douzaine d’albums sous son nom entre 1953 et 1958, année où il se retire de la scène du Jazz pendant une dizaine d’années, fait un come-back en 1969 dans le cadre du Newport all stars de George Wein, joue au Frammi’s club, et fait de nouveau un break de cinq ans. À partir de 1975 Tal Farlow se produit régulièrement en tournées notamment avec George Duvivier ou Tommy Flanagan. Sa virtuosité ouvrit la route à une école d’improvisateurs à l’attaque dure et agressive, et porta la guitare loin de la douce sonorité du « cool ». C’est le meilleur représentant du style hard-bop. Un film sur sa vie Talmage Farlow a été tourné en 1981 par le réalisateur Lorenzo DeStefano.

Source Wikipedia

4/Jean Claude Oliver / The Mercators

disque trés rare paru chez Bagatelle, trés jazzy.

1 – Break Of Dawn 2:35 / 2 – Amazonian Safari 3:25 / 3 – The Celtic Donkey 2:45 / 4 – Sweet Baby Seal 2:36 / 5 – Mangrove’s Roots 2:45 / 6 – Parade Of Roses 3:32 / 7 – Agrarian Party 2:15 / 8 – Orange Grove 2:44 / 9 – Altitude 8005 2:41 / 10 – Greek Vintage 2:40 / 11 – Last Ocean 3:08 / 12 – Blue Flamingo 2:28

Jean BACHELERIE

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